SiriusXM vous présente Vincent Vallières
Vincent Vallières nous présente les chansons de son septième album en carrière, Le temps des vivants, paru au printemps dernier : « Sept disques, ça a l’air beaucoup, mais on dirait que le temps m’a glissé entre les doigts… mais quand on y pense, mon premier disque est sorti en CD et en cassette aussi! » Le natif de Sherbrooke, qui gratte la guitare depuis ses quatorze ans, nous offre donc cinq chansons tirées de trois de ses albums, en plus d’une reprise d’une pièce du groupe Vulgaires Machins.
Vincent ouvre son concert avec Le temps passe tirée de l’album Chacun son espace. Il enchaîne ensuite avec trois pièces de son dernier opus, en commençant par le succès Bad Luck, qu’il décrit comme « une chanson qui représente bien l’album ».
Poursuivant avec À hauteur d’homme, le chanteur s’ouvre sur son métier et sa relation avec son public : « Je me trouve chanceux dans un micromarché comme le marché québécois, de gagner ma vie avec mes chansons pis d’aller rencontrer les gens partout. Dans le contexte actuel, c’est réellement une grande chance. » Partageant la scène avec son fidèle acolyte André Papanicolaou, il interprète ensuite la rythmée De bord en bord.
Celui qui détient deux Félix (« Chanson populaire de l’année » pour On va s’aimer encore et « Interprète masculin de l’année » en 2012) poursuit avec la douce et importante chanson à ses yeux : Lili. Pour clore son spectacle, son choix s’arrête sur l’engagée Compter les corps des Vulgaires Machins, que l’auteur-compositeur-interprète reprend avec son instrument fétiche : la guitare acoustique.
Cet automne, SiriusXM fait rayonner les artistes québécois et offre les Concerts SiriusXM, une série de dix spectacles intimes lors desquels nouveaux talents et artistes vétérans se livrent dans des prestations à leur image. Enregistrée dans les Studios Piccolo, la série a aussi fait une incursion dans l’univers de Yann Perreau, Guylaine Tanguay, Charles-Antoine Gosselin, Lubik, Annie Villeneuve, Jason Bajada, Alexe Gaudreault, Samuele et Rym’z.
